En
2015, on a plongé avec lui et le
Yerevan Chamber Choir au cœur des musiques de son pays d'origine, l'
Arménie, en mémoire des victimes du génocide. De retour en solo, pour la 2ème fois depuis le très remarqué
A Fable paru en 2011, le prodige du
piano renoue avec la composition. Pari audacieux que celui de se retrouver seul face à son instrument. Mais c'est un exercice que
Tigran maîtrise à merveille. Reconnaissable en quelques notes, son jeu si
singulier, si profond, nous rappelle qu'il est un
compositeur inclassable, un
interprète hors norme, et un
musicien complet qui fait désormais partie des références mondiales en la matière.
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